« Nous sommes dans un moment de vérité. Le modèle français se fissure. La gauche est incapable de mesures énergiques. Notre conviction est que le redressement du pays passe par le redressement de notre parti. Ce projet constitue la première étape de notre combat commun, pour la France, pour la République.» (François Fillon)


N’oublions jamais le souffle de la résistance

Certains voudraient que le temps nous libère des tragédies du passé. Mais les Français sont-ils prisonniers de leur mémoire ? Non, ils ne le sont pas, et il faut, au contraire, qu’ils en soient les gardiens. Souvenons-nous. Le 14 juin 1940, les armées allemandes occupent Paris. Le 17 juin, le Maréchal Pétain commande de cesser le combat et engage les tractations de l’armistice.
Renoncement, abdication, collaboration, tout, en apparence, est en place pour anéantir notre pays. Mais le 18 juin 40, sur les ondes de la BBC, une voix ferme ranime l’espoir d’une nation brisée.
C’est la voix de Charles de Gaulle, officier rebelle, pourtant accueilli par Winston Churchill et protégé par le grand et admirable peuple britannique qui était le dernier rempart de la liberté face à la furie nazie... Lire le discours prononcé par F. Fillon à Londres ce 18 juin.